2024 Annulation -Conférence-débat. 20 janvier

Transition écologique et énergétique : des clés pour agir par Bérengère Dubrulle. Ancienne mairie de Saint-Rémy-lès-Chevreuse, 1 rue Ditte – 15H.

« Climato-sceptiques », « éco-anxieux », « écologistes engagés » ou « indifférents », nous n’échapperons pas à la transition énergétique et écologique d’ici 2050. Pourquoi ? Comment ?

Venez le découvrir lors de la conférence de Bérengère Dubrulle, St Rémoise, désignée femme scientifique de l’année 2022. Prix Irène Joliot-Curie, directrice de recherche au CNRS qui vous donnera des explications et des pistes de réflexion au niveau local.

2023 – ciné-débat « Des jeunes en quête de sens » – jeudi 16 novembre 20H 30

Ciné-débat à l’Espace Jean Racine de Saint-Rémy-lès-Chevreuse avec la projection du documentaire « Ruptures » de Arthur Gosset

Le film raconte l’histoire de jeunes diplômé.es de grandes écoles qui ont fait le choix de renoncer à l’avenir qu’on leur promettait pour une vie jugée plus compatible avec les enjeux environnementaux et sociétaux de notre époque

Nous recevrons
Anne Goullet De Rugy, sociologue
et Tanguy Descamps, auteur du cahier militant « Basculons ».

2023 – Conférence-débat : « Intelligence Artificielle » – samedi 7 octobre 15H

Dans le cadre de la « Fête de la Science », conférence-débat à l’ancienne mairie de Saint-Rémy-lès-Chevreuse – 1 rue Ditte – avec Nicolas Sabouret, docteur en Intelligence Artificielle, professeur et chercheur en informatique à Paris-Saclay

L’intelligence artificielle fascine, interroge et bouscule notre société. Mr Sabouret nous expliquera ce qu’est réellement l’intelligence artificielle, ce qu’elle permet de faire et quelles sont ses limites.  Il abordera la question de la place de l’intelligence artificielle dans notre société.

L’auteur dédicacera ses livres après la conférence.


2023 ciné-débat « L’urbanisation des terres agricoles » – mardi 11 avril 20H 30

Ciné-débat à l’Espace Jean Racine à Saint-Rémy-lès-Chevreuse autour du film « DOUCE FRANCE » de Geoffrey Couanon.

Amina, Sami et Jennyfer sont lycéens en banlieue parisienne, dans le 93. Avec leur classe, ils se lancent dans une enquête inattendue sur un gigantesque projet de parc de loisirs qui implique d’urbaniser les terres agricoles proches de chez eux. Mais a-t-on le pouvoir d’agir sur son territoire quand on a 17 ans ? Drôles et intrépides, ces jeunes citoyens nous emmènent à la rencontre d’habitants de leur quartier, de promoteurs immobiliers, d’agriculteurs et même d’élus de l’Assemblée Nationale. Une quête réjouissante qui bouscule les idées reçues et ravive notre lien à la terre !

Pour animer le débat nous recevrons : Florent Sebban qui témoigne dans le film et qui a créé la ferme Sapousse en maraîchage à Pussay dans l’Essonne, Cristiana Vandame de la ferme Vandame de Villiers-le-Bâcle
et Martine Debiesse, auteure des livres « Terres Précieuses », recueils de témoignages d’agriculteurs du Plateau de Saclay et qui dédicacera ses livres à l’issue du ciné-débat.


2023 conférence-débat « Le genre dans le langage » – samedi 4 février 15H

Salle Marie Curie de l’Espace Jean Racine de Saint-Rémy-lès-Chevreuse

NON, LE MASCULIN NE L’EMPORTE PAS SUR LE FÉMININ !

Conférence-débat avec Éliane Viennot, professeuse de littérature française, militante féministe, autrice de « Non, le masculin ne l’emporte pas sur le féminin ! » et de « Le langage inclusif pourquoi et comment ? ».

La domination du genre masculin sur le genre féminin initiée au XVIIe siècle ne s’est imposée qu’à la fin du XIXe avec l’instruction obligatoire. Elle est le résultat d’un long effort des grammairiens et des académiciens pour masculiniser le français. Éliane Viennot retrace le parcours d’une entreprise à la misogynie affirmée ou honteuse, selon les époques. A l’aide d’exemples empruntés aux deux camps, elle nous convie à un parcours plein de surprises où l’on en apprend de belles sur la « virilisation » des noms de métier, sur les usages qui prévalaient en matière d’accords, sur l’utilisation des pronoms ou sur les opérations « trans-genre » subies par certains mots.
Nous découvrirons que la langue française possède à peu près tout ce qu’il faut pour exprimer le féminin à égalité avec le masculin, et qu’il n’est pas question de « féminiser la langue », mais plutôt de réduire le pouvoir écrasant qu’exerce aujourd’hui le masculin dans ses usages courants.